L'histoire :
Tout soleil a son déclin. Cet hiver 1683 semble marquer le crépuscule d'un règne
unique. Les fêtes ont laissé la place aux cérémonies. Au chevet d'un roi malade,
dans un palais glacé, Madame de Maintenon assiste à la lutte courageuse de son
seigneur. Car Louis le Grand ne capitule jamais. L'Europe entière résonne du
bruit de ses victoires. Versailles en est le symbole éternel. Alors que la mort
emporte, un à un, ses conseillers et les membres de sa famille, le roi doit se
lever, chasser, dicter son rythme à la cour... Une comédie que cet homme
meurtri, inquiet, vieillissant, peine à jouer de plus en plus. Il est le roi,
pourtant. Et jusqu'à la fin, Louis gouverne, statue, décide, du sort de la
France comme de son propre salut.
Mon avis :
Quel plaisir sur cette seconde partie!! Après les premières années plutot fastes de louis XIV, nous suivons ici son long déclin et les années noires durant lesquelles il doit affronter les décès des membres de sa famille, la famine frappant la France, les difficultés économiques et les guerres incessantes avec les royaumes voisins.
Louis XIV garde la tête haute et nous ne pouvons qu'être frappé par le courage dont il faut preuve au travers des épreuves et des souffrances. Max Gallo rend le récit si réel, que le lecteur a le sentiment de réellement partager la vie de ce monarque incroyable. La fin de règne est absolument surréaliste, presque pathétique mais en tout cas très touchante. La solitude qui entoure le roi n'en est que plus frappante, et nous la partageons à chaque page. Alors je dis :
Encore M. Gallo!! Encore!
Louis XIV garde la tête haute et nous ne pouvons qu'être frappé par le courage dont il faut preuve au travers des épreuves et des souffrances. Max Gallo rend le récit si réel, que le lecteur a le sentiment de réellement partager la vie de ce monarque incroyable. La fin de règne est absolument surréaliste, presque pathétique mais en tout cas très touchante. La solitude qui entoure le roi n'en est que plus frappante, et nous la partageons à chaque page. Alors je dis :
Encore M. Gallo!! Encore!
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